Scénario :
James Cameron
Principaux Acteurs :
Sam Worthington
Zoe Saldana
Sigourney Weaver
Michelle Rodriguez
Giovanni Ribisi
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Les médias en parlaient depuis un petit moment et j'attendais, comme beaucoup, sa sortie avec impatience. Le plus gros budget du cinéma, un travail numérique colossal et un résultat à couper le souffle. Disons-le, ce film est un évènement. Une grande claque dans la gueule. D'abord le visuel et l'esthétique des créatures bleues qui peuplent la planète Pandora. Les Omaticayas sont à tel point réussis qu'on aimerait croire à leur existence. Ce film un chef d'œuvre, comme il n'y en a pas eu depuis longtemps au cinéma. La planète Pandora et ses paysages sont sublimes et les détails poussés à l'extrême. A tel point que je suis retourné m'enfermer dans une salle obscur pour revoir Avatar en 3D cette fois-ci, malgré un tarif abusif, car disons-le l'industrie du 7e art a trouvé un subterfuge pour nous plumer davantage. Ceci étant dit, quand on aime on en compte pas ! Et du détails, il y en a tellement que le film paraît plus vrai que nature. J'ai envie de le voir et revoir encore et encore. Vivement le 16 avril prochain pour se le procurer le dvd.
En dehors de tout l'aspect visuel et esthétique du film, ainsi que la logique et la cohérence de ce monde lointain, il y a une histoire et des sujets très sérieux qui peuvent prêter à réflexion sur le devenir de l'homme. Il y a d'abord le colonialisme et tout ce qu'il implique. La soif de pouvoir et la convoitise des ressources et richesses naturelles. Les Omaticayas peuvent être comparés aux tribus africaines. Il y a aussi un fort message écologique. Ce film nous montre combien le lien entre l'homme et son environnement est rompu. L'être humain, qui se pense tellement civilisé, ne respecte pas la vie sous toute ses formes, aussi diverses et variées soient-elles. Il ne cherche pas à comprendre ni à connaître, seulement à assouvir et asservir. Le profit immédiat, même s'il faut pour cela détruire et tuer.
Avatar est un "happy end" bouleversant. Il est très difficile de ce détacher de se film et de se retrouver de nouveau face à la connerie humaine dans toute sa splendeur et sa futilité. J'aimerai être à la place de Jake Sully, le personnage principal, qui à travers l'avatar (à savoir que l'avatar est un être conçu à partir d'adn humain et Omaticaya) qu'il pilote, nous introduit dans le monde de Pandora, au sein de la grande tribu des Omaticayas et de leur philosophie de la vie.
Nous sommes très loin d'un Matrix ou d'Avalon, où la réalité virtuelle n'est peut-être pas celle que l'on croit, Ici, il n'y a qu'une seule et même réalité, avec une double vie pour les pilotes d'avatars...
En fait, je pourrais parler de ce long métrage durant des heures mais cela ne remplacera jamais une projection sur écran géant. Une seule chose à faire, aller voir Avatar de toute urgence et profiter du bien être qu'il procure. Et si possible, tirer profit de son enseignement, afin d'infléchir notre vie et de tendre vers une unité entre notre existence et celle de la planète dans son ensemble, d'autant plus que nous entrons dans une phase critique avec des changements climatiques importants et une disparitions de nombreuses espèces animales et végétales. Les médias en parlaient depuis un petit moment et j'attendais, comme beaucoup, sa sortie avec impatience. Le plus gros budget du cinéma, un travail numérique colossal et un résultat à couper le souffle. Disons-le, ce film est un évènement. Une grande claque dans la gueule. D'abord le visuel et l'esthétique des créatures bleues qui peuplent la planète Pandora. Les Omaticayas sont à tel point réussis qu'on aimerait croire à leur existance. Ce film un chef d'oeuvre, comme il n'y en a pas eu depuis longtemps au cinéma. La planète Pandora et ses paysages sont sublimes et les détails poussés à l'extrême. A tel point que je suis retourné m'enfermer dans une salle obscur pour revoir Avatar en 3D cette fois-ci, malgré un tarif abusif, car disons-le l'industrie du 7e art a trouvé un subterfuge pour nous plumer davantage. Ceci étant dit, quand on aime on en compte pas ! Et du détails, il y en a tellement que le film paraît plus vrai que nature. J'ai envie de le voir et revoir encore et encore. Vivement le 16 avril prochain pour se le procurer le dvd.
En dehors de tout l'aspect visuel et esthétique du film, ainsi que la logique et la cohérence de ce monde lointain, il y a une histoire et des sujets très sérieux qui peuvent prêter à réflexion sur le devenir de l'homme. Il y a d'abord le colonialisme et tout ce qu'il implique. La soif de pouvoir et la convoitise des ressources et richesses naturelles. Les Omaticayas peuvent être comparés aux tribues africaines. Il y a aussi un fort message écologique. Ce film nous montre combien le lien entre l'homme et son environnement est rompu. L'être humain, qui se pense tellement civilisé, ne respecte pas la vie sous toute ses formes, aussi diverses et variées soient-elles. Il ne cherche pas à comprendre ni à connaître, seulement à assouvir et asservir. Le profit immédiat, même s'il faut pour cela détruire et tuer.
Avatar est un "happy end" boulversant. Il est très difficile de ce détacher de se film et de se retrouver de nouveau face à la connerie humaine dans toute sa splendeur et sa futilité. J'aimerai être à la place de Jake Sully, le personnage principal, qui à travers l'avatar qu'il pilote, nous introduit dans le monde de Pandora, au sein de la grande tribue des Omaticayas et de leur philosophie de la vie.
En fait, je pourrais parler de ce long métrage durant des heures mais cela ne remplacera jamais une projection sur écran géant. Une seule chose à faire, aller voir Avatar de toute urgence et profiter du bien être qu'il procure. Et si possible, tirer profit de son enseignement, afin d'infléchir notre vie et de tendre vers une unité entre notre existance et celle de la planète dans son ensemble. Soyez conscients de ça quand vous entrez dans un centre commerciale. Nos gestes et nos habitudes de consommation ont une incidence directe sur le monde qui nous entoure.
Visionnez Avatar et laissez-vous transporter. Savourez les 2h50 du film et choisissez votre camp !
- Khylvyh (janvier 2010)
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